Le
temple est vide
Seul
la pierre demeure.
Impassible
au masque de marbre
L'ombre
ne la surprend plus.
Seuls
les murs se souviennent
qu'avant,
les rayons du soleil
Illuminaient
la grande salle
Dévoilant
l'or incrusté dans la roche
Il
se débat, il hurle, Il prie
Aux
pierres de s'exprimer.
Mais
la nuit est tombée
Et
le sanctuaire disparaît
Il
fallut qu'un jour se lève
Pour
qu'enfin les pierres
Touchées
par cette lumière
Libèrent
leurs richesses.